Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Encore un jeu de Scott Almes bien que plus conséquent : Warp’s Edge
On incarne dans ce jeu un pilote de vaisseau seule face à un vaisseau mère ennemi et son armada. Notre avantage ? On peut « recommencer » en gardant le savoir qu’on a déjà acquis. Évidemment ce nombre de reboot est limité et si lors du dernier reboot on n’a pas réussi à détruire le vaisseau mère, c’est l’échec.
Notre savoir est un sac dans lequel on va avoir des jetons. Au fur et à mesure qu’on détruit ou qu’on sème les vaisseaux adverses on va pouvoir rajouter des jetons qu’on pourra utiliser contre la vague suivante, le vaisseau mère… Ou lors du prochain reboot !
Il va donc falloir gérer son « bag building » pour avoir les actions nécessaires. Pas assez d’amélioration ou trop d’épures et ce sera l’échec assuré. Mais garder les petits lasers à 1 ne permettra pas de faire tomber le vaisseau mère…
Dans le jeu de base, il y a 5 vaisseaux mère et 4 vaisseau différents pour nous. Ce qui laisse plein de renouvellement de parties.
Le jeu propose aussi un « livret-jeu » pour la mise en place initiale (Le choix du vaisseau et d’une compétence de base, voire du vaisseau mère ennemi, je ne sais plus). Le livret raconte l’histoire du pilote, ses souvenirs et comment il se retrouve face à cette armada. A la base j’ai pris ce jeu plutôt qu’un autre solo (Under Falling Skies qu’on verra plus tard) car ce livret était mis en avant… Dans les fait il est plus que dispensable. J’ai du l’ouvrir deux fois. Je n’ai été ni convaincu par l’histoire en terme de lecture, ni par la « mise en place » qui en découle. Dans l’ensemble j’ai trouvé que ça manquait d’intérêt et pire, de clarté. Bref, je m’en passe. Je choisi un vaisseau, un ennemi, une compétence de base et je vole entre les lasers de warp en warp !
Il existe 2 extension rajouter des vaisseaux, des vaisseaux mère ennemis et des mécaniques qui complètent bien le jeu.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Dans la famille ‘Opolis, je demande le petit frère : Agropolis
On verra le dernier de l’adelphité un autre jour. Quand j’ai envie de changer un peu de Sprawlopolis /Megalopolis je pars à la campagne. Le principe est exactement le même mais les objectifs sont différents, les enclos d’animaux (équivalent des parcs) sont soit simples soit doubles et de 3 types différents ce qui donne des objectifs avec des dynamiques qui changent vraiment de Sprawlopolis. Bref pareil en pas pareil.
Pour le gros consommateur des ‘opolis que je suis, ça vaut largement le coup. Pour des gens qui ne connaissent pas ‘opolis je leur conseille plutôt Sprawlopolis /Megalopolis qui va quand même être plus simple à appréhender. C’était l’occasion de ma 400ème partie de ‘Opolis de l’ année !
155 parties (en Solo et avec le jeu de base uniquement)
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Un jeu calme : Tranquilité
Dans ce jeu on a 36 places pour placer des cartes en ordres croissant parmi 82 cartes (de 1 à 80, plus le Départ et l’Arrivée), facile ! En fait pas tant que ça car poser une carte à côté d’une autre va demander de défausser au nombre de cartes égales à la différence. Bref je pose le 6 à côté du 4, je fois défausser 2 cartes de ma mains en plus. Du coup il y a une part de mémoire des cartes qui ont été jetées.
De plus pour corser on peut retirer des cartes aléatoires en début de partie, avoir des Monstres marins qui obligent à détruire une carte déjà posée ou des récifs bloquant certaines possibilités de pose différentes à chaque tours. Ça se joue très bien en solo (à plusieurs aussi) , il faut une grande table cela dit. Il est disponible sur https://boardgamearena.com et j’y joue plus souvent là bas qu’avec mon jeu physique.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Un jeu où on se raconte une histoire : Paleo
C’est l’histoire un clan préhistorique qui cherche à survivre et à laisser une trace. Et le jeu n’a pas besoin de livret ou de cartes couvertes de textes pour raconter. Cela se fait très bien avec déjà les dos des cartes : est ce que je vais en forêt (plus de chance de trouver du bois) ou au bord de la rivière à la recherche d’une proie ? Puis on retourne la carte choisie et l’histoire se poursuit : « oups un gros mammouth, ce n’est pas avec ma pauvre chasseuse sans lance qu’on va s’attaquer à ça, on va le laisser passer. » Quand on fait une action cela va coûter des cartes qui vont être défausser, il faut parfois avoir des pré-requis dans notre clan (4 symboles lance pour le mammouth).
On déroule ainsi son paquet de cartes jusqu’à ce qu’on décide d’aller dormir. Et là il faut avoir assez à manger pour chaque membre du clan. Et il faut avoir ce qu’il faut pour contrer l’adversité.
L’adversité ce sont 2 modules qu’on aura choisi et qui amène des conditions pour passer la nuit sans encombres en plus de cartes à mettre dans notre paquet. Exemple avec le module des frelons. Dans le paquet plein de cartes de ces sales bêtes, et en condition de nuit d’avoir de quoi faire un onguent. Sinon c’est le crâne et au bout de 5, la défaite.
Dans le jeu de base il y a une 10aines de modules, déjà de quoi faire des combinaisons différentes !
De plus il y a 4 modules qui sont vendu à côté. Et une extension. Je n’ai pas encore trop essayé cette dernière.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Un nouveau petit microgame de Scott Almes : Leçons de pêche
Le but est d’avoir de visible un certain nombre de cartes bien précises du lac. Lesquelles ? Cela va dépendre du pêcheur (6 différents) qu’on prend pour la partie qui va indiquer des nombres de poissons dans des espèces.
A chaque tour on complète une ligne de « leçon » en y ajoutant ou en remplaçant une carte. Puis on déroule la « leçon », toutes les actions présentes doivent être faites. Il y a des actions qui retournent les cartes la, d’autres qui font déplacer la barque. Si, à la fin de la leçon, on voit exactement (ni plus ni moins) les poissons qu’on doit voir, c’est gagné. Si la pile de leçon est épuisée avant, c’est perdu.
Comme les autres microgame j’aime bien son côté minimal côté place. Et la variété d’objectifs fait que j’y reviendrai plusieurs fois.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Un jeu de dé solo : Colony 9
Il faut construire les bâtiments nécessaires à notre Colonie spatiale (pour ne pas perdre) et les autres (pour avoir suffisamment de points) en y affectant l’ensemble des ressources demandées.
A chaque tour on lance 3 dés, on en affecte 2 pour récolter des ressources à gauche, et un à droite pour pouvoir affecter les ressources à l’un des bâtiments. Il y a des évènements qui arrivent de temps en temps et peuvent être négatif (supprimer des ressources déjà affectées) ou positif (gagner des ressources).
Il y a plusieurs types de Colony qui présentent des besoins en ressources différentes pour que le bâtiment soit opérationnel, et plusieurs niveaux de difficulté (qui changent les robots qu’on a en début de partie et le nombre de points à atteindre pour la victoire).
Quand j’ai découvert le jeu, je l’avais imprimé. Depuis que j’ai codé la page, je ne me sers plus que de celle-là.
38 parties (Il doit y avoir un certains nombre de parties que je n’ai pas enregistré sur ce jeu)
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Celui où on perd : Space Hulk : Death Angel
Quand je présente ce jeu à des gens je leur dis :
Ce jeu est un jeu coopératif
On va perdre
S’ils acceptent ce postulat, ce qui est le cas en général, je continue ma présentation et on fait se battre nos Spaces Marine contre les Genestealers.
Et ça défouraille sec, on se dit que c’est facile. Et tout à coup le bolter qui s’enraye, la défense qui rate, puis un débarquement massif d’ennemi et nos effectifs se mettent à fondre comme neige au soleil… Mais ça y est on atteint quand même la dernière salle… Un dernier carré, tenir le temps de remplir la mission… Mince échec…
Mais on y croyait, on a rit de l’échec critique au dé, de la carte qu’il ne fallait surtout pas tirer et qui est venu, du coup critique qui démoli un essaim contre toute attente. Bref, on a perdu mais on a passé une bonne Partie !
Et bien c’est pareil en solo pareil sauf qu’on joue plusieurs équipes de Spaces Marine. Et les sensations sont les mêmes. J’ai toujours plaisir à le sortir d’autant que maintenant j’en maîtrise bien les règles. Car le livret de règle n’est pas des plus facile à bien saisir. Si j’avais du me potasser le livre de règle avant d’y jouer, j’aurais probablement abandonné et ça aurait été dommage, mais j’ai eu la change qu’on me fasse découvrir le jeu.
Malheureusement il n’est plus édité et les prix en occasion montent assez haut. Surtout sur les extensions qui étaient en impression à la demande à l’époque et dont j’ai raté les 2 dernières…
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Retour à la série des microgames en 18 cartes, même famille que Sprawlopolis / Megalopolis : L’Île des prédateurs
L’auteur du jeu est Scott Almes et si je le souligne c’est qu’il y en aura d’autres de cet auteur dans ce calendrier.
Dans celui là on place d’abord les animaux numéroté de 0 à 15 aléatoirement. Puis un animal peut manger en se plaçant sur son voisin, mais seulement si sa valeur est de 1,2 ou 3 inférieure. Il faut réussir à avoir le moins d’animaux quand on ne peut plus faire de mouvements ce qui marque la fin de la partie.
Quand un animal mange, il déclenche son pouvoir qui peut aider (en faisant bouger/échanger d’autres animaux, …) ou handicaper (en posant une contrainte pour le prochain tour). Il existe aussi deux cartes animaux marins, eux on déclenche leur pouvoir quand on veut une fois par partie, ce qui peut aider à rattraper le reste.
Il existe une extension avec différents modules pour compliquer la chose. Sur la photo j’ai joué avec tout.
Il y a des animaux Marins supplémentaires (pouvoirs bonus). Des animaux Volants (Ajoutent des contraintes devant être utilisés pour pouvoir gagner). Les animaux Légendaires ne mangent pas mais ils doivent être découvert (retournés) et quand ils sont mangés, ils posent des contraintes pour le tour suivant. Enfin, les animaux Disparus sont des prédateurs comme les autres mais ils ont leur propre règle pour manger (Par exemple, « peut manger n’importe quelle valeur Impaire »). On peut jouer avec tout ou partie de ces modules.
C’est un bon casse tête, il faut bien étudier l’ensemble et choisir l’ordre de ses actions (en mettant le 12 sur le 9, ça va permettre de le rapprocher du 13 qui pourra le manger…) pour réussir à gagner.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Il n’était pas prévu dans ma liste initiale : Long Story Short Carmen et Carlos
Il n’était pas prévu au programme initialement car il a été acheté le jour même. J’allais chercher un cadeau de Noël pour mon épouse (elle veut Odin) et en musardant je suis tombé dessus. Petite boîte, petit prix, solo, pourquoi pas.
Il existe une deuxième boîte, je ne sais pas si elle fonctionne pareil. Ici on a 2 paquets, un pour Carmen et pour Carlos. Un petit pitch, le jour des mort est ce qu’on va réussir à faire se retrouver ces deux amoureux sachant que Carlos est décédé.
On joue l’un ou l’autre paquet en prenant la carte du dessus qui va indiquer une situation et 2 possibilités (par un verbe) têtes bêches. On choisi laquelle des deux en mettant la carte dans son sens, puis on regarde au verso là où ça nous amène (le numéro de la prochaine carte à prendre). Dans Carmen & Carlos il faut réussir à amener les 2 paquets à des cartes qui vont ensemble. Et les tourner de façon à les associer pour donner le choix qu’on souhaite (il y a des moitiés de mots sur chaque bord et on « construit » son choix ainsi avant de regarder le verso).
Bon globalement vu que je sais comment fonctionne une histoire, j’ai réussi du premier coup à atteindre la fin. Cela dit, j’ai envie de le faire tester à mes enfants eux qui sont toujours bluffés de voir que ma femme et moi on arrive à deviner ce qu’il va se passer dans un film, qui est le traître, où est le trésor, … (Et oui, à force de lectures on fini par connaître les ficelles les plus courantes et savoir en repérer). Juste voir si eux vont être perdus ou réussir.
Le Jeu propose aussi de rejouer pour chercher des objectifs secondaires quand on a réussi une première fois. Je pense du coup que j’y rejouerai pour « compléter » le jeu et aussi que j’irai essayer le second de la gamme.
Je me suis lancé cette année un petit calendrier de l’Avent perso en #j2solo. Chaque jour une partie d’un solo de jeu de société que j’aime bien (et que j’ai dans la ludothèque). Ce peut être des jeux purement solo ou des modes solos de jeux multi. J’essaye de le décrire sommairement et de ce que j’aime dedans. Retour à une petite boîte avec Eila et l’éclat de la montagne
On reste dans les animaux mignons mais grosse boite, très joli. Du narratif mais avec de la gestion de ressources et une part de mémoire. J’ai fait les chapitres 0 à 3 avec une première défaite au n° 3. Je l’ai réussi à la deuxième tentative.
J’aime beaucoup même si le côté narratif a parfois des « manques ». Il est servit par des livrets de prologue et de fin à chaque scénario (micro bd de 4pages) et les illustrations parfois accompagné d’une phrase sur chaque carte du jeu et parfois ça peut donner une interprétation un peu léger qu’on ne complète que plus tard en voyant d’autres éléments. Mais ça ne gène pas le déroulé global ni l’envie d’aller jusqu’au bout. Chaque carte propose des choix et selon on la met dans le futur (le choix reviendra) ou le passé, des choix peuvent rajouter de nouvelles cartes dans le futur. Quand notre paquet est vide, un jour est achevé et on mélange le futur pour faire le nouveau paquet.
Quand j’ai rejoué le chapitre 3 je l’ai réussi. Victoire car je l’avais déjà joué et que c’était plus simple car je savais où aller ? Alors Oui et Non. Oui car je savais où aller. Mais en fait à ma première tentative je le savais déjà et je savais même où trouver l’objet nécessaire pour avancer… Mais j’avais oublié pendant que je me baladais et quand je me le suis rappelé, j’ai manqué de temps pour réussir. Et non, car si ça a été plus simple cette fois ce n’est pas car je savais déjà où aller et avec quoi mais parce que j’étais plus concentré sur la victoire que sur l’exploration. Il me reste deux scénario à faire (donc 5 en tout). ça peut sembler court pour une grosse boite comme ça (et surtout pour moi qui ai fait le 7eme Continent). Toutefois je sais déjà que sur les scénario 2 et 3 il y a une fin alternative que je peux découvrir. Et pareil sur les 4 et 5 il y a plusieurs fins. Je sais aussi que j’ai décidé de faire d’Eila une bourrine musicienne (rapport à des choix d’équipement ou de talent) et que si j’avais fais d’autres choix, l’histoire et la gestion de ressource pourraient se passer différemment… Donc d’autres façon de ré-explorer la chose (Et pour moi qui ai poncé le 7eme Continent, et bien, je retrouve cette envie ici de poncer le jeu). La boite est à un chouilla plus que 40 euro en neuf, je l’ai regardé plusieurs fois sans craquer. Je l’ai trouvé sur Okkazeo à 30euro, là j’ai pris.
Très curieux de savoir ce qu’est cet éclat en haut de la montagne.