Concours d’écriture : Fifty lovecraftien sur Cosmo Orbüs

Un petit concours d’écriture m’a attiré l’œil. Deux raisons m’ont poussé à chercher à participer : Le sujet et la contrainte…

Je ne vais pas vous dire ici ma participation mais juste vous pointer le truc. Je révèlerai ma participation une fois le concours achevé.

Concours d’écriture : Fifty lovecraftien sur Cosmo Orbüs

Iä ! Iä ! Shub-Niggurath ! Image d’origine par Fesbraa.

L’idée est de composer un texte d’inspiration Lovecraftienne en 50 mots.

Lovecraftien

H.P. Lovecraft est un auteur du début du siècle… précédent ? Oui, on peut le dire maintenant : 1890-1937.

Il a écrit la nouvelle l’Appel de Cthulhu et de tas d’autres qui  ont posé les bases d’un truc connu des geeks et des rôlistes :  » Le Mythe de Cthulhu ».

Le postulat de base est simple : L’homme n’est rien et des tas de choses dépassent (et dépasseront toujours) sa compréhension.

Il se dégage de ses nouvelles un sentiment d’impuissance à la limite de l’horreur, un sentiment de malaise.

Parmi mes titres préférées je vous conseille :

• L’Affaire Charles Dexter Ward
• La couleur tombée du ciel
• La Musique d’Erich Zann

Cette dernière nouvelle est d’ailleurs ma préférée (est-ce lié au fait que je sois moi-même musicien ?) et dès que j’ai vu ce concours, j’ai repensé à celle-là.

50 mots

Ah oui, clairement c’est court ! Heureusement sur la page du concours, il y a un lien vers un petit outil compteur de mots.

J’ai du clairement m’y reprendre à plusieurs fois pour atteindre ce but. Reformuler des idées, rechercher des expressions synonymes utilisant moins de mots, …

L’exercice est très intéressant et lire les choses qu’on pu faire les participants au précédent concours, Fifty Cyberpunk, est assez impressionnant.

Bonnes lectures et bonne participation aussi peut être !

Mon texte

La musique

Je ne sais où je l’ai entendu. Une mélopée à peine perçue sur le moment, sans que j’y fasse attention.
Mais elle s’impose au fil des jours de plus en plus à mon esprit.
Elle m’obsède désormais tellement que je n’entend plus rien d’autre…